Trois jours sans
Paris, L’École des loisirs, 1998. 94 p. (Médium)
ISBN : 9 782 211 048 170
Sommaire :
À cause d’une insolence — qui le surprend lui-même —, William a été renvoyé du collège pour trois jours. Il n’ose pas l’avouer à sa mère et occupe comme il peut ses journées, multipliant les rencontres et surtout faisant le point sur sa vie, ses espoirs, ses doutes, ses frustrations. Un ton rapide, sans pathos, juste, pour l’analyse, parfois un peu trop appuyée, d’une crise adolescente ni tragique ni banale.
(Source : BNF, Bibliographie Susie Morgenstern)
William n’est ni un bon élève, ni un cancre. Le lycée l’ennuie, c’est tout. Il est amoureux de Marie, la forte en thème, toujours un peu trop sage, malheureusement. Il n’est pas spécialement chahuteur. Il n’a jamais posé de véritables problèmes à ses professeurs, il ne s’est jamais fait remarquer.
Jusqu’à ce jour où Mlle Février, la prof de français, voulant le sortir de sa torpeur, lui dit : « Tu rêves encore. À quoi tu rêves ? As-tu seulement un rêve ? » Cette manie de toujours vouloir savoir à quoi rêvent les élèves… William, sans réfléchir, décide de prendre Mlle Février au mot. Ce jour-là, elle porte une jupe plutôt courte. William s’entend répondre : « Je veux arracher ta culotte et te manger » et écope de trois jours d’exclusion, seulement trois jours, parce que Mlle Février n’est pas la plus susceptible des profs.
(Source : Ecole des loisirs)
Susie dit :
« Imaginez que l’Ecole puisse vous manquer… »